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19 mai 2016 4 19 /05 /mai /2016 06:31
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.
CHEMIN DE VIGNES... "L'esprit du lieu se transmet par le terroir dans l'esprit du vin." Philippe Roy. Le corps est depuis longtemps au centre de mes réflexions. Pas un corps « en représentation », figé, anatomique ou marchandisé, mais un corps en mouvement, fragile dans sa grandeur, ses blessures, ses faiblesses. Dans le projet "Chemin de Vignes" c'est ce même corps qui m'apparaît dans la vision des ceps, ses torsions, ses élans m'interrogent, comme la métaphore d'un être pensant. D'une façon générale mon parcours artistique exprime généralement les variations de mes états, mes sentiments, mes émotions... Dans le titre appréhendé de "Chemin de Vignes" le mot cheminement prend son sens, il m'inspire un sentiment, une action, une production de sens dans l'installation par le mouvement, par le dialogue des oeuvres de JY Bardin, mais aussi la quête d'une mémoire collective. Il y a dans le mouvement un état de devenir. Toute l'évolution de la matière y est encodée, accessible sous forme de traces et de vibrations que réactivent le geste et l'intention. Cette évocation échappe à notre temporalité dans le sens où il fait appel à la mémoire émotionnelle. Si le mouvement est la marque du vivant, Chemin de Vignes en est bien la définition et l'incarnation. Ici le travail repose sur un jeu permanent de l'homme et de la nature, ainsi cette installation s’exprime de façon tout à la fois pérenne par l’histoire qu'elle raconte, et tout à la fois éphémère par le sentiment de fragilité que génère la vie. L'abandon du corps "cep"aux mains des hommes y est assumé comme la condition ultime du renouvellement des fruits et la promesse d'une bonne vendange. C'est un voyage sans cesse recommencé, qui s'écrit avec le temps, les orages, les sécheresses, le gel et ses blessures, le trop plein des eaux de printemps qui ruine la terre, qui du vignoble est l'esclave ou le maître? ...Il se débat, fait corps à son vignoble, il le panse, le nourri, lui parle, c'est un être pensant...,tout comme lui, aussi mortel. Ainsi par le miracle d'incessantes métamorphoses, arrive le temps des dégradations, des reliques qui recèlent le germe et le souffle de toute vie. La chair et l'esprit ne font plus qu'un, fondus dans le même élan créateur.

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